500 salariés du site normand travaillaient sur le dossier des 12 sous-marins que l’Australie avait commandé à la France avant de rompre le contrat. Son directeur ne peut pas faire de promesses sur le maintien des emplois.
Related Posts
Angleterre : une réouverture des restaurants et des lieux de culture sous surveillance
En Angleterre, il est désormais permis de se serrer dans les bras l’un de l’autre. Après avoir rouvert ses restaurants et…
Soldat mort au Mali : le déchirement à Varces
En Isère, dans la ville de Varces, la population est endeuillée après la mort de Maxime Blasco, tué au Mali.…
“Intolérable”, “inadmissible”… A gauche comme à droite, les responsables politiques condamnent unanimement l’agression d’Emmanuel Macron
Le chef de l’Etat a été giflé mardi par un individu lors de son déplacement dans la Drôme, à la…
